Foire Aux Questions

Une image représentant une loupe avec une bulle FAQ flottant au dessus

Toutes vos questions. Au même endroit.

Nous avons réuni au même endroit les questions qui portent sur l'atelier Steppes en pratique et les questions plus générales sur l'alimentation.

L'atelier

La réponse à vos questions se trouve sûrement parmi ces thématiques à explorer. Si vous ne trouvez toujours pas votre réponse, vous pouvez nous contacter via le bouton en haut de page.

L’atelier Steppes dure 2h au total en présentiel, c’est comme 3 épisodes de votre série préférée finalement (ou à peu près autant qu’un James Bond pour les moins jeunes d’entre nous), ça mange pas de pain!

Non, aucune connaissance préalable n’est nécessaire. L’atelier Steppes est justement là pour comprendre tout ce qui se trame derrière nos assiettes et comment nous pouvons simplement passer à l’action et changer nos habitudes pour le meilleur, promis personne ne sera dans les choux !

L’atelier disponible pour le grand public n’a pas de prix fixe, vous donnez ce que vous voulez et ce que vous pouvez. Afin d’éclairer votre choix, nous recommandons une participation de 5€ au moins afin de couvrir les frais de l’association. Donner plus permet de financer de nouveaux projets et de trouver de nouveaux lieux propices à l'atelier par exemple. Un kit récapitulatif (pour faire le plein d’astuces et de pistes de réflexions) est vendu indépendamment à la fin de l’atelier.

Généralement, un animateur peut animer jusqu’à 12 personnes en même temps. Pour éviter de repartir avec la tête en compote à cause du niveau sonore, nous essayons de garder les effectifs dans une même salle en dessous de 20 personnes.

Les dates des prochains ateliers sont disponibles sur notre billetterie en ligne. Comme l’atelier ne peut accueillir qu’une vingtaine de personnes maximum au même endroit, nous te conseillons de réserver ta place en amont !

Aucun matériel n’est requis pour l’atelier, et pas besoin de tenue spéciale non plus, juste vous et votre bonne humeur ! (Si vous tenez vraiment à ramener un gâteau on se sacrifiera)

Pour cela, il faut que tu deviennes animateur officiel de l’atelier Steppes ! Nous sommes à la recherche de nos premiers animateurs, contacte-nous si tu souhaites faire partie de l’aventure ! Une autre solution consiste à embarquer tes proches sur une session ouverte de l’atelier, de nouvelles dates sont régulièrement disponibles ici !

Nous conseillons l’atelier à partir de 15-16ans. Une version junior verra bientôt le jour. En revanche, il n’y a pas de limite d’âge haute sur les ateliers, aucune excuse !

Non ! Nous organisons aussi des ateliers pour les entreprises, les associations et organisations, les collectivités/organismes publics, l’enseignement supérieur. Pour toute demande n’hésitez pas à passer par la page contact du site !

L'approvisionnement durable au quotidien

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D’un point de vue nutritif, il est plus intéressant de choisir des légumes surgelés à des légumes en conserve car les nutriments sont mieux conservés ! Ensuite entre les légumes frais et surgelés, cela dépend de la durée de conservation. Pour faire bref, la qualité nutritive des légumes frais conservés au réfrigérateur diminue au-delà de 3 ou 4 jours. Aujourd’hui la pêche en mer et l’élevage de poissons ont d’importants impacts environnementaux. Voici quelques solutions pour les limiter : - Diminuer sa consommation de produits de la mer - Privilégier des poissons de bas niveaux trophiques comme la sardine (plutôt que le thon par exemple) - Privilégier des produits labellisés et/ou achetés en circuits-courts pour valoriser les pêcheurs à leur juste valeur

Les avantages majeurs de ces magasins sont la meilleure rémunération des agriculteurs et la qualité des produits proposés. Ces magasins sont souvent transparents quant à la manière dont ils se paient et fixent les prix (pour payer le loyer du magasin, les salaires…), sur l’origine de leurs produits et sur la façon dont ils rémunèrent les agriculteurs. Ils mettent souvent en avant des produits locaux et régionaux. Attention ! Certains contiennent parfois des fruits et légumes qui viennent de loin ou qui ne sont pas de saison (surtout les chaines de magasins). Il faut donc quand même prêter attention à ce que l’on achète.

Très bonne question car ce n’est pas toujours simple de différencier un producteur d’un revendeur au marché ! Voici quelques indices qui pourront vous aider à reconnaître un stand de producteur : - Une affiche est souvent apposée au stand avec le nom de la ferme et des producteurs - Les contenants des produits sont très souvent réutilisables (alors que les revendeurs ont plus souvent des cartons) - Sur les ardoises qui affichent les prix des produits, le nom de la ferme est souvent indiquée alors qu’un revendeur aura une indication d’origine plus flou (une région ou même le pays) - Un producteur vous parlera avec amour de ses produits et de son métier, vous conseillera sur la manière de les cuisiner et pourra vous dire les légumes et fruits qui arriveront dans les prochains jours Bonne découverte !

L’alimentation durable ne s’arrête pas en sortant de notre cuisine ! C’est aussi important d’y penser quand on sort déjeuner ou dîner à l’extérieur et c’est une excellente manière de sensibiliser ses amis ou sa famille. Voici quelques critères qui peuvent vous aider à les choisir : - Regarder l’approvisionnement : est-ce que le restaurant affiche l’origine de ses produits ? Privilégie-t-il les circuits courts ou les labels (pêche durable, label rouge, bio…) ? - La carte affichée est-elle durable ? Y a-t-il des plats végétariens ou bas carbone ? - Le restaurant est-il dans une logique de diminution des déchets ? Accepte-t-il de servir les clients dans des tupperwares ? - Le restaurant est-il référencé par des labels durables comme Ecotable ? Bon appétit !

Il y a 4 catégories d’oeufs (0, 1, 2 et 3) qui correspondent aux 4 types d’élevage de poules pondeuses. Pour manger des oeufs, il faut privilégier : - La catégorie 0 qui correspond aux œufs de poules élevées en plein air et en agriculture biologique - La catégorie 1 qui correspond aux œufs de poules élevées en plein air En revanche, il faut éviter au maximum les œufs de catégorie 2 et 3 qui correspondent à des œufs de poules élevées au sol sans accès à l’extérieur ou en cage.

Ce qu’il faut retenir c’est que peu importe le label choisi celui-ci assure qu’un effort a été fourni par le producteur ! Voici quelques exemples de labels : - Les labels bios (français et européen) assurent d’avoir des produits sans pesticides ni OGM. - Le label Rouge est également un bon indicateur pour les produits carnés - Concernant les produits de la mer, il est intéressant de privilégier les labels pêche durable, msc ou asc.

Enjeux globaux de l’agriculture et méthodes agricoles

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Pour faire face à l’augmentation importante population à partir des années 60, il a fallu augmenter drastiquement les rendements agricoles : c’est la naissance de l’agriculture intensive. La monoculture s’est notamment généralisée : il s’agit de sélectionner une espèce à haut rendement et de la cultiver sur une très grande surface. Malheureusement sur le long terme, l’agriculture intensive a des conséquences néfastes sur l’environnement (pollution des eaux, appauvrissement des sols, qualité nutritive des aliments…).

Aujourd’hui la France importe 20% de son alimentation depuis l’étranger ce qui rend notre pays dépendant des productions agricoles des autres pays du monde. Or le contexte environnemental actuel menace les productions d’autres pays et crée même des pénuries, nous l’avons vu cet été avec les graines de moutarde au Canada. Maximiser notre souveraineté alimentaire est donc important pour assurer l’approvisionnement national et nourrir correctement toute la population.

Ces deux types de production permettent de : - Régénérer les sols (augmentation de la biodiversité et régénération des nutriments essentiels) - Limiter la propagation de maladies et de ravageurs car les sols deviennent plus résilients et résistants - Augmenter la production de cultures tout en diminuant le besoin de travail humain. Génial, non ?

Tout comprendre à l’impact environnemental des aliments

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Le soja et le tofu (issu des fèves de soja) que l’on retrouve en magasin sont souvent décriés car ils seraient responsable de la déforestation dans le monde, notamment de la forêt amazonienne. Ces attaques ne sont pas totalement justifiés car en réalité 70% du soja cultivé à l’échelle mondiale est aujourd’hui destiné à l’alimentation animale. Le soja destiné à notre alimentation est donc une part minime de toute la production ! Toutefois il est important de faire attention à l’origine du soja que l’on achète en choisissant par exemple une origine française. Comme ça, on s’évite tout doute ! Pour aller plus loin

Les productions de viande de bœuf et d’agneau sont les deux plus émettrices de CO2eq ! Pourquoi ça ? Car ces animaux sont des ruminants et en digérant de l’herbe ou du foin, elles ils émettent beaucoup de méthane. Et pour faire simple, le méthane réchauffe 25 fois plus rapidement l’atmosphère que le CO2, d’où le fait que la production de ces viandes soit bien plus polluante.

Oui et non ! Cela dépend du critère que l’on regarde. - D’un point de vue environnemental, ce n’est pas le transport de la viande qui pose problème mais bien sa production. Qu’elle provienne d’une ferme située à 5km de chez nous ou à l’autre bout de l’Europe, la production d’une viande émet quasiment autant de CO2 et occupe autant d’espace ! Ce qui est important c’est de choisir c’est de choisir une viande moins émettrice et issue d’une production labellisée : du poulet bio plutôt que du bœuf ou de l’agneau par exemple. - D’un point de vue social, privilégier une viande locale est plus durable car elle fait vivre un agriculteur proche de chez nous et fait vivre un territoire. De plus, si on l’achète en circuit court, on s’assure de rémunérer correctement l’agriculteur et ça c’est top !

Les emballages plastiques alimentaires que l’on jette correspondent à 4-5% des émissions de CO2 d’un aliment. Ces emballages plastiques ne sont pas très bien recyclés et se retrouvent sous forme de micro-plastiques dans les océans, ce qui détruit la biodiversité marine. Aujourd’hui, des études évaluent à 270 000 tonnes la quantité de micro-plastique dans les océans. Et enfin, ils ne sont pas très bons pour la santé : certains emballages utilisés sont des perturbateurs endocriniens. Alors, convaincu ? source : youmatter.world

La nutrition

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D’un point de vue nutritif, il est plus intéressant de choisir des légumes surgelés à des légumes en conserve car les nutriments sont mieux conservés ! Ensuite entre les légumes frais et surgelés, cela dépend de la durée de conservation. Pour faire bref, la qualité nutritive des légumes frais conservés au réfrigérateur diminue au-delà de 3 ou 4 jours. En résumé : d’un point de vue nutritif, préférer les légumes surgelés aux conserves et les légumes très frais aux légumes surgelés ! Et d’un point de vue environnemental, choisir des légumes frais (et de saison!), quand c’est possible, sera toujours le mieux 🙂

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